American Pie, marions-les ! (2003) : le test complet du DVD

American Wedding

Réalisé par Jesse Dylan
Avec Jason Biggs, Seann William Scott et Alyson Hannigan

Édité par Universal Pictures Home Entertainment

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Le 21/05/2004
Critique

Ames sensibles, s’abstenir à tout prix… car la saga, loin de s’assagir, poursuit son incursion au royaume du graveleux et du mauvais goût. Ce parcours initiatique entamé en décembre 1999 par Adam Herz (scénariste) et les frères Weitz (réalisateurs) prend aujourd’hui des proportions inimaginables alors. Projeté en avant-première au Festival du Deauville cette même année, un journaliste (plus courageux que les autres) interrogera Paul Weitz sur ses véritables motivations et sur son ambition après avoir réalisé une telle comédie. Sous-entendu : n’avez-vous pas touché le fond ? Depuis, les Frères Weitz ont, avec ce premier film, définitivement lancé leur carrière et enchaînent désormais projets sur projets. Quant à « American Pie », la série, elle n’a cessé de repousser les limites pour s’aventurer sur des terres jusqu’alors inexplorées par le cinéma grand public, chasses gardées d’un iconoclaste allumé nommé John Waters. « Polyester », ca ne vous dit rien ??? Cela devrait pourtant !!!

Incroyable mais vrai! Ce qui a commencé comme une gigantesque blague d’adolescents pré-pubaires s’est transformé en un véritable conte de fée… savoureusement décadent il faut bien l’avouer. Pour les cinéastes (on vient de le voir) mais aussi pour tous ceux qui ont eu l’heureuse idée d’y participer, à commencer par Biggs et William Scott. Le premier a eu l’immense privilège de tourner avec Woody Allen (grand maître ès comédies d’esprit). Le second avec Ivan Reitman. Quant à Shanon Elizabeth, les frères Wayans s’en sont emparés pour une autre saga déjantée ; celle des « Scary Movie(s) ». C’est dire si « American Pie » a su marquer les esprits jusqu’à devenir (n’ayons pas peur des mots)… une référence. Et pourtant !!! Pas facile de s’imposer après le succès tonitruant de Mary à tout prix réalisé par d’autres frères (décidément) ; les frères Farrelli. Pas évident non plus d’être accepté des critiques. Encore moins du grand public, toujours frileux vis-à-vis de ce type d’humour libidineux.

Mais « American Pie » n’est pas n’importe quoi et les frères Weitz pas n’importe qui ! Le concept (car c’est bien d’un concept qu’il s’agit) fonctionne à la manière d’un rouleau compresseur. Prenez une bande d’amis, jeunes, beaux, peu intelligents et de préférence bien bâtis. Glissez-les dans un collège bien laxiste au milieu d’une meute de filles ouvertes… d’esprit. Premières expériences, de l’innocent baiser à galipette salée, tout ce qui peut être dit ou montré sur le sujet le sera. Quitte à jouer avec la censure !!! Le DVD et son approche marketing à souhait (« la version interdite en salles ») le prouve. En réalité, la force de ces épisodes et de suggérer plus que de montrer. De jouer avec la limite, cette ligne de démarcation qui sépare le voyeurisme cinématographique de l’érotisme ou de la pornographie. Trop en révéler serait une erreur. Pas assez un manque d’audace et d’originalité (car elle est ici l’originalité… oser ce que nul n’a encore osé). Aux créateurs de savamment mettre en scène pour suffisamment faire saliver. Au public féminin ou masculin ensuite d’imaginer !!! Et pour cela, rien de tel que de puiser dans ses souvenirs d’enfance pour s’identifier !!!

Certes, les degrés de perversité et de maladresse qu’atteignent les personnages demeurent (sans doute) inégalés mais c’est ce qui rend l’expérience encore plus excitante. Fantasmer sans risque et rire aux dépends des autres. Voilà le concept !!! Qu’a-t-on à perdre ??? Rien si ce n’est sa morosité. Au contact de ces vaudevillesques aventures qui, rappelons-le étaient également l’apanage des grecs dans l’Antiquité, le crédit des rieurs ne peut être entamé. Distribués dans la majeure partie des salles de l’Hexagone, « American Pie » véhicule aujourd’hui l’image d’un divertissement gras mais sain qui montre qu’en démocratie, on peut rire de tout… même d’obscénités. Obscénités gentillettes je vous l’accorde mais obscénités tout de même. 3 épisodes après, on ne trouve ni la pudeur, ni l’indécision, ni l’amateurisme des débuts. 3 épisodes plus tard, le rythme s’est accéléré, le ton s’est entièrement libéré et le professionnalisme mêlé à la cabotinerie des acteurs concourent à emmener « American Pie » vers des sommets. Et ce n’est pas fini !!! Des limites s’apprêtent encore à être repoussées.

Ce 3ème opus le montre. Il va loin, très loin, encore plus loin que ces illustres prédécesseurs. Ici, la phrase « on prend les mêmes et on recommence » semble avoir été ignorée car aucun des gags des précédentes éditions n’a été réitéré. Bien au contraire, le film puise son inspiration dans le fantasme hors catégorie (cf. zoophilie, gérontophilie ou bien encore masochisme… ). Des sujets « interdits » dont on ne parle qu’en y faisant allusion. « American Pie 3 : Marions-les! » non seulement en parle franchement mais y met les deux pieds dedans. Les pantalons s’enflent, les mamies font du strip tease, les animaux sont mis à contribution et tout ceci sans que le spectateur n’y voie rien à redire. « American pie 3 : Marions-les ! » révèle ses inavouables dessous. Au programme, danses érotiques, jeux pervers et blagues sado-scato-porno. Au palais du mauvais goût terriblement réjouissant la tarte américaine est reine. Un royaume laissé en héritage par John Waters (on l’aura déjà noté) mais aussi et surtout par un certain Bunuel, autre génie du comique scabreux à l’humour si particulier.

Toutefois, ne cherchez ni finesse, ni subtilité, le scénario tout comme la mise en scène en sont absolument dénués. Qu’importe ! C’est l’inattendu, le grossier, le vulgaire, « le potache » rappelons-le qui fait ici recette. Impeccablement mis en scène et remarquablement exploité, le film de Jesse Dylan, fils du légendaire Bob Dylan (devenu réalisateur pour l’occasion) ne lésine sur aucun effet. Un pari gagnant puisqu’il signe avec « American Pie 3 : Marions-les ! » incontestablement le plus réussi des 3 volets. Tout est hilarant, efficace, gentiment immature et fera hurler de rires des millions de dévédphiles à travers le monde, unis pour le meilleur et pour le pire par cette doucereuse et cynisante satire. Précipitez-vous, la tarte est chaude et le spectacle au poil !

Présentation - 4,0 / 5

De l’Art de réussir son packaging ! « American Pie3 :Marions-les ! » exhibe sans vergogne le professionnalisme de son éditeur. Photos bien choisies misant sur l’alléchante plastique des top-models du film. Là encore, le mauvais goût de bon aloi s’avère payant. Autant utiliser le meilleur atout du film, son recours à la provocante nudité et son génie comique pour les situations très embarrassantes. Sur la jaquette, tout y est. Et ce n’est pas l’introduction de la galette dans le lecteur DVD qui nous fera changer d’opinion.

Menus animés avec extraits du film. Bien évidemment, les moments les plus scabreux sont au rendez-vous sur une musique suggérant le rythme soutenu et l’avalanche de gags. Quant à la section des suppléments, elles regorge de trésors entre les scènes coupées, celles « censurées » (joli argument marketing une fois encore), les interviews et featurettes en pagaille, vous aurez de quoi rester coller à votre poste télé une bonne heure. Et ceci, sans compter le commentaire audio des acteurs et du réalisateur.

Un transfert impeccable tant au niveau de l’image qu’au niveau du son. Couleurs vives, bande-son furieuse… des éditions comme celles de « American Pie 3 : Marions-les ! », on en voudrait plus souvent. Les formidables résultats du film en salles (2 millions d’entrées) n’y sont pas étrangers. Néanmoins, on ne peut que constater épisode après épisodes l’amoncellement de suppléments. Toujours plus nombreux, innovants et délirants. Et ça, ça ne peux être dicté que par un immense respect envers le dévédphile. Respect qu’on se doit de saluer !

Bonus - 4,0 / 5

Et voici la section tant espérée des bonus avec son florilège de suppléments !!! L’occasion de passer les coulisses au rayon X sans se prendre la tête ou choper la grosse tête car rien ni personne n’est vraiment pris au sérieux. L’humour avec lequel les participants animent ces suppléments montrent quel joyeux bordel (créatif tout de même) a régné sur le plateau de « American Pie 3 : Marions-les ! ». Seul grand absent : le réalisateur que ces suppléments confondent parfois avec le scénariste et producteur « Adam Herz ». Coïncidence ou acte manqué ! Il est vrai que ce genre de séries est en grande partie une affaire de producteurs et que le réalisateur n’a généralement pas le « final cut ». Ici, il n’a pas non plus la parole excepté dans un des commentaires audio… et encore, il n’officie pas seul !!! Manque également une bande-annonce. Pour le reste, tout y est !!! De quoi se gaver de suppléments tous plus délirants les uns que les autres, qui savent se montrer instructifs par moment et ne ressemblent à aucun autre.


Le jargon de Stiffler (7’14 - VOST)

Voici la partie (après le film) la plus réjouissante de cette édition DVD. Le jargon de Stiffler est l’occasion pour l’acteur ainsi que pour le scénariste de déconstruire ce personnage et de montrer le travail commun qui a permis d’en faire ce qu’il est aujourd’hui : le pivot comique de l’histoire ! Semblable au Serge Benamou de La Vérité si je mens !, il s’est affiné avec les épisodes jusqu’à occuper une place centrale dans l’intrigue. Logique ! Il est celui autour duquel gravite le comique de mots, de geste et de situations… aucun autre personnage n’est doué de cet immense talent dans « American Pie » !!! A coup de répétitions, de comparaisons entre scènes écrites et scènes filmées, les auteurs nous révèlent la dimension réelle de Stiffler. Décomplexé avec le cerveau d’un gamin de 3 ans et une libido surdimensionnée, Stiffler est le type même du parfait anti-héros, libre, sans contrainte à qui certaines personnes (y compris le scénariste) rêve de parfois ressembler. Son vocabulaire est entièrement recomposé et mêle obscénités et innocence. Sans filtre, Stiffler débite tout ce qui lui passe par la tête… bref pas une once d’intelligence mais une bonne dose de culot. L’étude est par conséquent à la fois fascinante et terrifiante.

L’enterrement de vie de garçon (9’46 - VOST) / La toison du jeune marié (6’33 – VOST)

2 documentaires qui ont le même objet : l’anatomie d’une scène. 2 séquence-clés du film étudiées. La première est le fameux enterrement de vie de garçon. Incroyable mais vrai !!! Rien n’a été écrit pour cette scène. Il a suffi de quelques accessoires, d’une poignée d’idées griffonées sur un vieux bout de papier et d’acteurs prêts à improviser. Résultat : une scène qui fait état de sa spontanéité et de son ingéniosité créative. L’autre scène est celle concernant le rasage complet de la toison pubienne du jeune marié. Pour cette scène, tout a été méticuleusement préparé. Une préparation dont se moque les techniciens. « Quand on pense qu’il a fallu 40 à 50 techniciens parmi les mieux qualifiés de Hollywood pour tourner ça ? » confieront plusieurs d’entre eux goguenards… effectivement ça laisse rêveur mais c’est aussi cela la magie du cinéma. Il faut parfois déployer plus d’effort pour faire rire que pour faire rêver ou pleurer. Ici, les efforts sont payants et le soin apporté à la préparation proprement réjouissante. Si on se moque… ce n’est pas du spectateur !!!

Vidéo de mariage ringarde (2’58 – VOST) / Journal Hollywoodien de Nikki (9’54 - VOST)

Si la vidéo de mariage ringarde n’a aucun espèce d’intérêt (excepté d’aligner les plans-clichés sans aucune explication), le Journal Hollywoodien de Nikki est instructif au plus haut point. Le sujet : comment se préparer pour la Première du film. Rendez-vous le matin avec le prof de gym… une caricature !!! Bien bâti, l’oeil déshabilleur, les mains baladeuses et le muscle prêt à saillir… le temps de faire une douzaine de pompes, fessiers et abdos puis on passe à la dermato. Vite! Couper les 2 ou 3 poils qui dépassent uniquement visibles à la lunette grossissante zoom x100… mais tout de même, on a sa fierté quand on est une star. La boutique de fringues est bien évidemment un passage obligé puis vient le temps de se coiffer et de se maquiller. En cas de besoin, un styliste est à portée de main… histoire de ne pas vous sentir trop seul dans ce monde de brutes. Vous aurez à peine le temps de repenser à la table de lecture lors de laquelle vous avez lié connaissance avec vos petits camarades acteurs et c’est déjà la Première. Interviews, photo calls et déjà on pense à l’after. Sans rire, c’est dur la vie d’une starlette insignifiante à Hollywood ! Plus superficiel que ce docu-drama, ça n’existe pas… ou alors il faut taper dans le bas du panier..vous savez à qui et quoi je fais allusion… alors ne prononçons pas leurs noms et contentons-nous d’apprécier ce documentaire comme une gentille reconstitution de la vie des animaux. Rafraîchissant !

Le Bêtisier (6’05 - VOST)

C’est la partie ratée de ces suppléments. On attend quelque chose de totalement déjanté avec montage nerveux et musique puissante à la clé et puis rien… rien d’autres que de décevants éclats de rire d’une répétitivité affligeante et de l’impro mal maîtrisée. Dès les premières minutes, l’ennui vous gagne pour très rapidement céder la place à l’agacement le plus complet… bref on fantasmait autre chose… un de ces bêtisiers qui nous laisse scotché de rire à nos chaises. Tant pis!!! A zapper !!!

Scènes inédites (22’09 - VOST)

22 minutes de scènes inédites. La durée parle d’elle-même. Beaucoup de ces scènes sont des essais, improvisations ou extensions dont l’audace a déplu. Certaines ont été éliminées pour leur hors sujet. D’autres enfin ont été dictées par la volonté du studio. Ici, rien n’est tabou… Adam Herz en personne introduit la quasi-totalité de ces scènes avant d’être relayé en toute fin par Seann William Scott (alias Stiffler). Il en parle comme de scènes qui n’ont pas trouvé leur place dans le film et en attribue certaines à la volonté du studio (dont il ne ménage pas les qualités de créativité). Montées, bruitées, sonorisées, le transfert de ces scènes est d’excellente qualité. Au nombre de 12, en voici le détail :

- La Bague
- 2 semaines
- Rallonge de la préparation au mariage
- Les Voeux
- Une fière Grand-Mère
- Autour de la Piscine
- Tradition
- Les Hommes sont des Salauds
- La Table des Mariés
- Grand-Mère danse avec Stiffler
- Poupée gonflable
- Grand-Mère dans la Penderie

Image - 5,0 / 5

S’il fallait noter l’image… et oui, il le faut !!! Je dirais que c’est un sans faute. Im-pec-cable ! Les couleurs contrastent habilement selon le type de scènes, les blanc sont francs, les noirs profonds et la arrière-plans d’une netteté quasi absolue. Bref… en matière d’image, « American Pie 3 : Marions-les ! » se situe tout en haut du panier. Et pourtant ! Il eût été plus facile pour l’éditeur de céder à la tentation d’une image médiocre tirant alors partie d’une mise en scène remuante et de dialogues incisifs et abondants. Là encore, il faut saluer le travail de l’éditeur qui ne s’est pas contenté d’une médiocrité visuelle et s’offre avec cette édition DVD l’un des plus beaux transferts actuellement sur le marché.

2 séquences attestent de cet effort particulier sur l’image et lui donnent tout son sens. La première est l’éblouissante séquence de danse dans la boîte Gay. Le concours entre Stiffler et Ours brun alterne champs, contre champs, panoramas gauche droite, droite gauche, travellings latéraux sans oublier de courte mais efficaces contre-plongées en portée. Cette ambiance très proche du cultissime La Fièvre du samedi soir ne serait pas complète sans les sempiternels fumigènes marqués année 70, les jeux de lumières flashy, et bien sûr une foule de supporters massés autour des danseurs. Tout y est ! On a rien oublié ??? Si !!!… l’essentiel… la boule à facette avec ces rayons dardant simultanément la piste et les lutteurs. Le transfert de « American Pie 3 : Marions-les ! » relève ici le défi d’une netteté absolue, d’une profondeur de champ exemplaire et d’un parfaite gestion des couleurs. Quant aux gels, stries ou autres parasites indésirables sur nos galettes préférées… on oublie !!!

L’autre séquence est celle de l’enterrement de vie de garçon. Sa complexité dépasse (contrairement à ce que l’on pourrait croire) celle de la précédente. Cette fois, il s’agit d’alterner techniques de prises de vue, cadres et plans mais également (et c’est toute la difficulté) d’insuffler un rythme comique à la séquence. Adieu les arrières-plans imprécis, les floutés, les escaliers et autres. Tous les détails doivent être visibles… spécialement à l’arrivée des parents de Michelle. Eux réagissent en premier plans tandis que derrière les silhouettes se livrent au jeu du chassé-croisé. Seule une image haut de gamme peut rendre hommage à l’incroyable tempo de la réalisation et rendre la séquence de fait inoubliable.

Son - 4,0 / 5

Absence de DTS ! Pourquoi ??? On est en droit de se le demander quand les deux précédentes éditions avaient eu le droit à cet insigne honneur ? Aucune explication logique si ce n’est celle technique (manque de place avec tous ces suppléments) ou financière (manque d’argent), à moins que ce ne soit un peu des deux . Toutefois, les deux pistes encodées en Dolby Digital 5.1 dégagent un niveau suffisant de puissance et spatialise amplement une bande-son musicalement axée. Néanmoins, l’absence d’un DTS tonitruant, transformant l’appartement en Falshdance party (notamment lors des scènes en boîte de nuit) manque cruellement.

L’ensemble est plutôt sage, un peu trop sage même pour un « American Pie ». Quant à la décision de choisir telle ou telle piste, elle vous sautera… aux oreilles très rapidement. Le doublage français est tellement mauvais que la VO (ST ou pas) s’impose naturellement !!! Qui a réalisé un tel doublage ??? Qu’on puisse le mettre au piquet, dos au mur, main sur la tête. C’est si calamiteux qu’on croirait presque à une mauvaise blague… une de ces « private jokes » qui font hurler de rires les doubleurs. Platitude du ton, syntaxe alambiquée… et le must… au-delà même de la dissonance, le choix de voix d’ados attardées qui n’ont absolument rien à voir avec la chaleur des voix originales.

Bref… un ratage complet qui coupe toute envie d’hésiter ! La VO en Dolby Digital 5 .1 ne manque cependant pas d’atouts. Parmi les principaux, on peut aisément citer la clarté (des voix en particulier) ainsi que la présence de nombreux effets. Il manque tout de même quelques basses, mais il fallait bien trouver à redire dans cette édition si bien soignée !


Bonne part de tarte à toutes et tous… en DVD c’est encore meilleur!!!

Configuration de test
  • Téléviseur 16/9 Rétroprojecteur Toshiba 43PH14P
  • Toshiba SD-330ES
  • Onkyo TX-DS797
  • système d'enceinte 5.1 Triangle
Note du disque
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Pascal
Le 11 juin 2005
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Emmanuel
Le 1 novembre 2004
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