Réalisé par Renny Harlin
Avec
Bruce Willis, Bonnie Bedelia et William Atherton
Édité par 20th Century Fox
Se remettant de ses exploits de la tour Nakatomi, l’inspecteur
McLane (Bruce Willis) se rend à l’aéroport pour rejoindre sa
femme. Cette fois-ci, il devra affronter des mercenaires sud-
américains qui tentent de délivrer un gros trafiquant de
drogue et comme d’habitude il va se heurter à
l’incompréhension des responsables de l’aéroport.
Le scénario se rapproche beaucoup du premier et la recette est
la même : un flic seul et isolé dans un lieu clos devant venir
à bout de quelques dizaines des terroristes pour pouvoir
rentrer chez lui. Cet épisode est le moins bon de la série,
mais attention, il reste un très bon divertissement. Il manque
la patte de John McTiernan, mais Renny Harlin s’en sort très
bien en apportant sa touche d’action musclée. Une suite plus
violente et avec plus de moyens que son prédécesseur !
Rien de très excitant, une jaquette sobre et un disque sérigraphié. Des menus fixes soi disant musicaux bien ternes. Le strict minimum pour un film qui aurait gagné à être sorti en coffret avec les deux autres volets de la série.
Du même style que pour le premier : la bande-annonce cinéma en VO non sous-titrée, un mini reportage de 4 min en VO non sous-titrée, qui n’apprend pas grand chose (en fait une bande promotionnelle), les principales filmographies en VO non sous- titrées. Mieux vaut parler anglais couramment pour profiter du peu de suppléments disponibles !
Plutôt agréables dans l’ensemble. Elles ressemblent beaucoup au premier en fait. C’est-à-dire quelques défauts de pellicule peu gênants et un léger grain par moment. De belles couleurs et une définition plus que correcte rendent tout de même la vision de ce film très agréable.
Trois bandes-son sont disponibles et toutes sont en DD 5.1. Et comme souvent, la VO est bien plus réveillée que la VF. En effet cet dernière passe outre de nombreux effets et les basses n’arrivent pas au niveau de la VO. Mis à part cela, c’est du très bon son même si les enceintes surround aurait pu être plus exploitées. Quant au caisson, il s’en donne à coeur joie lorsqu’il arrive à Bruce Willis de se trouver trop près des avions.