Réalisé par James Bamford
Avec
Stephen Amell, Katie Cassidy et David Ramsey
Édité par Warner Bros. Entertainment France
Après la mort de Laurel et le départ de Diggle et Thea de l’équipe, Oliver reste seul pour protéger les rues de Star City. Avec Felicity le guidant depuis le bunker, il est forcé de gérer une ville envahie par des criminels et par de nouveaux justiciers inexpérimentés. Mais il doit également concilier son statut de défenseur avec son nouveau poste de maire de la ville. Sa partenaire lui suggère de former une nouvelle équipe, ce qu’il refuse. Cependant, quand un nouveau criminel, Tobias Church, fait son apparition dans la métropole, Oliver réalise que Felicity avait raison et que la meilleure solution pour protéger les citoyens serait de créer une nouvelle équipe de superhéros. Un peu plus tard vient s’ajouter un autre adversaire, Prometheus, un archer aussi doué qu’Oliver, qui semble le connaître et souhaite le discréditer aux yeux de la ville…
Arrow, série créée en 2012 par Greg Berlanti, Marc Guggenheim et Andrew Kreisberg, inspirée par les romans graphiques de DC Comics, continue de tenir l’antenne. Les rumeurs selon lesquelles la série pouvait s’achever avec la saison 5 ont été largement démenties : la saison 6 est en cours de diffusion alors que nous écrivons ces lignes et une saison 7, toujours de 23 épisodes, est prévue pour 2018.
L’épisode 8, le centième d’Arrow, est un crossover avec trois autres séries concoctées par le même trio, Greg Berlanti, Marc Guggenheim et Andrew Kreisberg : Flash, Supergirl et DC’s Legends of Tomorrow.
Je ne vais pas le tuer, mais lui faire regretter de ne pas être mort !
Alors qu’Oliver a endossé les responsabilités de maire de Star City, l’entrée dans la série d’un nouveau personnage des DC Comics crée la ligne de force de la saison 5. Il s’agit d’Adrian Chase, dit Prometheus, celui qui peut voir le futur, une sorte de double d’Oliver Queen : il a pouvoirs équivalents qu’il utilise pour faire le mal et jure la perte de Green Arrow, ou pire encore.
La mise en place d’une nouvelle équipe de superhéros recrutés par Oliver Queen, Wild Dog, Curtis et Evelyn Sharp, apporte, elle aussi, un courant d’air frais à la série, tout comme l’arrivée d’un nouveau vilain, Ragman.
À suivre, donc…
Arrow, saison 5 (23 x 42 minutes) et ses suppléments (82 minutes) tiennent sur quatre Blu-ray double couche (cinq disques pour l’édition DVD) logés dans un boîtier glissé dans un étui.
Le menu fixe et musical propose le choix entre version originale au format DTS-HD Master Audio 5.1 et doublage en français et en italien (Dolby Digital 2.0) ainsi qu’en allemand (DD 5.1).
Sous-titres en cinq langues, dont le français (et l’anglais pour malentendants).
Les suppléments, intégralement repris de l’édition américaine sont répartis sur les quatre disques.
La nouvelle équipe Arrow (10’) : Marc Guggenheim, les producteurs et les acteurs évoquent les nouveaux personnages venant conforter Oliver et l’entrée en scène du mystérieux Ragman, un autre représentant de l’univers des DC Comics.
Suit Allied, the Invasion Complex (13’), centré sur l’épisode 8, un crossover avec trios autres séries : The Flash, Supergirl et de DC’s Legends of Tomorrow.
Viennent ensuite des scènes coupées (11’), un bêtisier (5’), Arrow au Comic-Con de 2016 (27’) qui rassemble le producteur et cocréateur Marc Guggenheim, Wendy Mericle, productrice exécutive, et sept acteurs devant un public de fans, avant que n’ait commencé la diffusion de la saison 5, et les racines d’Arrow : Prometheus (15’), consacré au personnage d’Adrian Chase.
La copie digitale n’est plus offerte.
L’image (1.78:1, 1080p, AVC) appelle le même constat que celui fait pour le test de la saison 4 : elle est d’une remarquable précision, révélant tous les détails des plans. Hormis quelques petites faiblesses occasionnelles dans les scènes de nuit, elle parfaitement contrastées, avec des couleurs agréablement saturées et des noirs denses.
Mêmes remarques pour le son : la version originale, la seule en haute définition (DTS-HD Master Audio 5.1), bénéficie d’une excellente dynamique, d’un spectre largement ouvert et d’une utilisation optimale des cinq canaux, procurant une spectaculaire sensation d’immersion dans les scènes d’action. Les dialogues sont clairement restitués, dans un bon équilibre avec l’ambiance et un accompagnement musical assez quelconque et ménageant trop peu de pauses.
Le doublage en français, au format Dolby Digital 2.0 stéréo, ne joue pas dans la même cour.
Crédits images : © Berlanti Productions, DC Entertainment, Warner Bros. Television