EXCLUSIF - The Cell, premier regard
Atterrissage dans les locaux de Dvdfr du psycho-thriller nécrophile avec Jennifer Lopez, dans sa version « unrated ». Spécifications, captures et première exhumation d’un DVD qui va glacer l’été
Deux heures de frissons glacés au coeur de l’été. Seven7 choisit un créneau assez atypique pour sortir le plus gros thriller avant la rentrée : The Cell, le délire en images orchestré par Tarsem Singh, avec Jennifer Lopez en traqueuse de serial killers à l’intérieur de l’esprit humain.
Nous avons reçu l’une des premières copies du disque, qui sera sur les bacs le 18 juillet prochain. Avec The Cell, Seven7 signe une autre de ses éditions majeures. Le DVD se conforme bien à l’imagerie de Tarsem : la preuve dans le set de 25 captures dans notre fiche, et dans la richesse des spécifications.
Le disque est introduit par un menu morphing bio-mech, qui rappelle un peu les dessins de Giger. Pas de pistes DTS cette fois, remplacées par une piste musicale isolée (en 5.1) et par le commentaire audio, en plus des habituelles VO et VF en 5.1.
Le disque français reprend l’intégralité des suppléments DVD-Vidéo de l’édition New Line. Mais il y a une différence de taille. Le film sort en France dans son édition « unrated » (avec notamment la version intégrale d’une séquence où Vincent d’Onofrio se masturbe sur le cadavre d’une fille), tandis que le Z1 se limite à la version « R » distribuée en salles outre-Atlantique.
Le DVD contient 7 scènes inédites (avec commentaire optionnel du réalisateur), ainsi qu’un documentaire sur le style très visuel de Tarsem. Mais la pièce de résistance en un document en multi-angle qui analyse les séquences principales du film. Trois angles sont disponibles : l’interview du superviseur des FX, le tournage des scènes, ou les story-boards. Un bon remake d’une des features-vedette de Seven…
The Cell est complété par le lot habituel (teaser, bandes-annonces, filmographies), ainsi que par 2 petits jeux ludiques, dans la lignée de ceux de Destination finale. Un écran des crédits - pas mentionné sur la jaquette, mais pas en mode bonus caché non plus - est également accessible. Le tout avec une localisation intégrale des contenus.
Pour la petite histoire, Seven7 s’amuse à titiller la curiosité des médias, en disséminant par la poste des petits indices (éclats de peinture)… Il fallait juste chouchouter « Jennifer… »
